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Nature : Thèse Spécialité : Sciences de l'éducation Directeur : Pierre Clanche Annexes : annexes, bibliographie, graphiques, index, notes, sigles Format : Grand format Résumé : Les savoirs mis en oeuvre dans le cadre d'une action orientée vers un but s'articuleraient selon les modalités du vouloir, du pouvoir et du savoir. S'agissant du projet d'insertion sociale, ces modalités nous permettraient donc de relever des savoirs relatifs au "vouloir s'insérer", au "pouvoir s'insérer" et au "savoir s'insérer". Cette thèse, située dans le champ des sciences de l'éducation, bénéficie des apports théoriques de la sémiotique discursive, proposée par J.-C. Coquet. Le sujet du discours est ici réhabilité ; il n'est plus seulement défini par son faire - c'est ainsi que la sémiotique narrative greimassienne nous proposait de l'appréhender - mais au regard de son positionnement face à l'objet de sa quête qui n'est autre que l'agencement des modalités précitées. Une double approche diachronique et synchronique des résultats permet d'avancer qu'une articulation du savoir selon les modalités du "vouloir s'insérer", du "pouvoir s'insérer" et du "savoir s'insérer" est possible ; elle rompt avec la terminologie en usage (savoir/savoir-faire/savoir-être) pas toujours, selon nous, pertinente. De plus, cette approche souhaite mettre en garde contre la tentation que nous pourrions avoir de catégoriser formellement les savoirs au regard de l'insertion sociale comme finalité. [résumé de l'auteur] Indexation libre de l'auteur : emploi, formation, insertion sociale et professionnelle, revenu minimum d'insertion, savoir, sémiotique.