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Annexes : tableaux Résumé : Les employeurs ayant recruté sous l'un des quatre principaux contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (contrat d'accompagnement dans l'emploi, contrat d'avenir, contrat initiative emploi, contrat insertion-revenu minimum d'activité) déclarent fin 2007, soit un an environ après l'embauche, avoir eu peu d'a priori sur ces salariés avant de les recruter. Ils s'estiment généralement satisfaits et considèrent majoritairement que ces salariés ont le potentiel pour évoluer. Un an environ après leur embauche, six salariés en contrat aidé sur dix sont encore chez leur employeur. Certains contrats ont été rompus avant le terme prévu, majoritairement à l'initiative du salarié. Cette rupture était souvent liée au contenu du poste dans le secteur marchand, ou motivée par un nouvel emploi dans le secteur non marchand. Les employeurs du secteur non marchand gardent moins souvent leur salarié à la fin du contrat aidé, principalement parce que l'évolution de leur activité ne le permet pas ou parce que les décisions de recrutement relèvent de leur tutelle. Dans le secteur marchand, l'inadaptation du salarié aux postes existants est davantage évoquée pour justifier le départ du salarié de la structure. [résumé de la revue]