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Annexes : tableaux Résumé : Fin 2011, 31 % des bénéficiaires du revenu de solidarité active (Rsa) et 14 % des allocataires de l'allocation de solidarité spécifique (Ass) travaillaient, tout en percevant un minimum social. 23 % des bénéficiaires du Rsa ont connu de longues périodes d'inactivité ou n'ont jamais travaillé, contre 3 % pour l'Ass. Les emplois occupés par les bénéficiaires de ces minima sociaux sont précaires : le temps partiel, le plus souvent subi, est majoritaire et les contrats à durée indéterminée sont moins fréquents que pour l'ensemble des salariés,en particulier pour les allocataires de l'Ass. 1 emploi sur 10 est exercé dans une association. Parmi les bénéficiaires de ces minima sociaux qui étaient sans emploi fin 2011, 14 % des allocataires de l'Ass et 12 % des bénéficiaires du Rsa en occupent un fin 2012. Inversement, parmi les bénéficiaires qui étaient en emploi fin 2011, 23 % de ceux de l'Ass et 17 % de ceux du Rsa ne le sont plus fin 2012. À âge donné, le taux de reprise d'emploi des bénéficiaires de l'Ass est plus élevé que celui des bénéficiaires du Rsa. Au total, 34 % des personnes qui bénéficiaient du Rsa fin 2011 et 23 % de celles qui percevaient l'Ass exercent un emploi fin 2012 ; certaines ne bénéficient alors plus de l'allocation. Plus des deux tiers des allocataires qui ne travaillent pas fin 2012 recherchent un emploi. Les difficultés rencontrées dans les recherches d'emploi sont en premier lieu liées aux transports. Le manque de formation adéquate est également souvent évoqué comme un obstacle à l'accès à l'emploi. Les problèmes de santé constituent le premier motif de renoncement aux recherches. [résumé revue]