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Résumé : Alors que la crise économique est attisée par les gouvernements argentins successifs, provoquant de vastes mobilisations ouvrières, un mouvement de reprises d'usines par leurs ouvrier·ères émerge au début des années 2000. Aujourd'hui, les entreprises « récupérées », très souvent sous forme coopérative, sont au nombre de 370, versant des salaires à près de 16 000 travailleur·ses. Les difficultés auxquelles elles font face s'accumulent d'autant plus que l'État et le grand patronat ne cessent de leur mettre des bâtons dans les roues, y compris par la répression violente. Pourtant, le nombre d'entreprises récupérées continue d'augmenter. [résumé auteurs]