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Annexes : tableaux Résumé : Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d'oeuvre, moyenne des taux d'entrée et de sortie, est de 51,7 % en 2011. Les mouvements de main-d'oeuvre sont beaucoup plus fréquents dans le tertiaire (64,0 %) que dans la construction (25,6 %) et l'industrie (18,7 %), du fait de taux d'entrée en Cdd et de taux de sortie pour fin de Cdd nettement supérieurs. Le taux de rotation de la main-d'oeuvre est un peu plus élevé dans les établissements de 1 à 9 salariés (58,8 % contre 49 % environ dans les établissements de 10 salariés ou plus), les mouvements de main-d'oeuvre étant plus fréquents dans les très petits établissements de l'industrie et de la construction. Les trois quarts des recrutements se font en Cdd. Avec 7 sorties sur 10, les fins de Cdd constituent le principal motif de sortie, loin devant les démissions et les licenciements. Les taux d'entrée et de sortie des jeunes sont nettement supérieurs à ceux de leurs ainés. Le taux de rotation des femmes est plus élevé que celui des hommes, cet écart s'expliquant par des taux d'entrée en Cdd et de sortie pour fin de Cdd supérieurs. Les taux de rotation des ouvriers non qualifiés (85,1 %) et des employés (80,5 %) sont particulièrement élevés. Ces salariés sont davantage recrutés en Cdd et démissionnent ou sortent pour fin de période d'essai plus souvent que les autres salariés. Les trois-quarts des Cdd d'au moins un mois arrivés à terme en 2011 ont duré 6 mois ou moins. [résumé revue]