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Annexes : tableaux, graphiques Résumé : En 2014, près de 26 millions d'heures ont été chômées au titre de l'activité partielle, soit 5 % de moins qu'en 2013. Chaque mois, environ 61 000 salariés, soit 0,3 % de l'emploi salarié total, ont été concernés par l'activité partielle, pour une réduction d'activité de 35 heures en moyenne. L'activité partielle est utilisée davantage dans l'industrie et par les grands établissements. Cependant, le poids de la construction, des services et des établissements de moins de 20 salariés progresse. L'activité partielle reste très concentrée géographiquement, en lien avec l'implantation de l'industrie sur le territoire. Le principal motif de recours reste la conjoncture économique. L'activité partielle se traduit le plus souvent par une réduction horaire de tout ou partie de l'établissement. Certains établissements recourent à l'activité partielle sur une longue durée ou de façon récurrente : 12 % des établissements utilisateurs en 2014 l'ont également été durant les deux années précédentes et 11 % ont cumulé plus de 12 mois de recours sur les trois dernières années. Les dépenses publiques au titre de l'activité partielle s'élèvent en 2014 à 208 millions d'euros, 126 millions d'euros de l'État et 82 millions d'euros de l'Unédic. [résumé revue]