En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
Centre de documentation sur la formation et le travailPORTAIL DOCUMENTAIRE
Centre de documentation sur la formation et le travailPORTAIL DOCUMENTAIRE
0

Portrait statistique des principales conventions collectives de branche en 2012.

Sélection Imprimer
N° spécial revue
Annexes : graphiques

Résumé : Fin 2012, 15,3 millions de salariés sont couverts par 710 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), se regroupant en 494 conventions collectives agrégées. Leur taille est très variable puisque 13 % des conventions agrégées concentrent 73 % de l'emploi salarié de l'ensemble des branches. Les caractéristiques des salariés et des emplois, relativement stables d'une année sur l'autre, varient fortement selon les branches. Ces variations s'expliquent en partie par la diversité des métiers exercés, mais aussi par le fait que certaines branches, dites "catégorielles", ne s'appliquent qu'à certaines catégories ocioprofessionnelles. Au sein des 55 branches couvrant 50 000 salariés ou plus, la proportion de femmes varie de 3 % à 93 % et la proportion de salariés âgés de moins de 30 ans de 3 % à 68 %. Les taux de Cdd et de temps partiel s'échelonnent quant à eux respectivement de 1 % à 22 % et de 4 % à 65 %. Dans l'ensemble des conventions collectives de branche, le salaire net moyen d'un équivalent-temps plein est de 2 170 euros par mois en 2012. Les écarts salariaux entre branches sont à rapprocher en partie des différences de profils des salariés. À catégorie socioprofessionnelle donnée, les écarts de salaire moyen par branche restent toutefois marqués, en particulier pour les cadres. Le salaire net mensuel d'une femme en équivalent-temps plein est en moyenne inférieur de 20 % à celui d'un homme, soit 1 point de moins qu'en 2011 ; cet écart diminue dans trois quarts des branches de 50 000 salariés ou plus. Dans 8 branches de 50 000 salariés ou plus, il dépasse 25 %. Cet écart est le plus élevé chez les cadres (21 %) et le plus faible chez les employés (8%). [résumé revue]

Contient : Voir aussi :

CoteLocalisationSituation
DAR

Salle de lecture
disponible
Sélection Imprimer