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Résumé : Dans un contexte où les tensions de recrutement sont déjà fortes et dans la mesure où d'importants départs en fin de carrière sont à prévoir d'ici dix ans, planifier la décarbonation des bâtiments implique d'anticiper les besoins en emplois-formation du secteur. La massification de la rénovation énergétique des bâtiments nécessitera une main-d'œuvre importante − entre 170 000 et 250 000 emplois supplémentaires d'ici 2030 [1]. Or, beaucoup d'incertitudes entourent ces créations d'emploi : quelle part des travailleurs actuels occupés dans la construction neuve ou l'entretien-rénovation non énergétique pourra être orientée vers de la rénovation énergétique ? Quelles compétences spécifiques leur seront nécessaires ? Du côté des ménages, l'enjeu porte sur la solvabilisation et le reste à charge. Du côté de la filière − où prédominent les TPE −, l'enjeu est celui du développement d'une offre de rénovation globale et performante à même de répondre à cette massification. [résumé revue]