En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
Annexes : bibliographie Résumé : À partir de l'automne 2017, apparaît dans la controverse sur l'"écriture inclusive" l'idée selon laquelle elle serait doublement excluante : d'une part, vis-à-vis des personnes, et notamment des enfants, mis·es en difficulté par ces nouvelles formes de langage utilisées dans des cercles universitaires et militants féministes et, d'autre part, vis-à-vis des personnes handicapées (atteintes de troubles cognitifs spécifiques et malvoyantes). Ces deux arguments d'"exclusion" ont été formulés à la fois par du personnel politique, par quelques universitaires ou enseignant·es, par des représentant·es d'associations de personnes handicapées, et même par le ministre de l'Éducation nationale. Ayant bénéficié de peu d'audience à l'automne 2017, ils sont devenus les arguments principaux du débat lors de sa réouverture en septembre 2020. [premières lignes]