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Annexes : graphiques Résumé : Les dépenses en faveur de l'emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées au total à 74 milliards d'euros en 2007, soit 3,9 points de Pib. Les "dépenses ciblées" en faveur du marché du travail (emplois aidés, accompagnement et formation des demandeurs d"emploi, indemnisation du chômage et préretraites) s"élèvent à 41 milliards d'euros en 2007, en légère baisse pour la 4ème année consécutive. Elles représentent ainsi 2,2 points de Pib. Les allocations de chômage en constituent plus de la moitié (56 %), loin devant les aides à l'emploi (contrats aidés, aides au travail protégé) qui comptent pour 20 %, la formation professionnelle des demandeurs d'emploi (13 %) et les moyens consacrés au service public de l'emploi (10 %). Les "dépenses générales" en faveur de l'emploi atteignent 33 milliardsd'euros en 2007, soit 1,7 point de Pib, dont 21 milliards d'euros au titre des allégements généraux de cotisations sociales ciblés sur les bas salaires. S'y ajoutent essentiellement les dépenses au titre de la prime pour l'emploi et des mesures en faveur de l'emploi dans certains secteurs d'activité (hôtels-cafés-restaurants, services à la personne) ou dans certaines zones géographiques. Le montant de ces dépenses générales a quasiment doublé en termes nominaux depuis 2000. En sus de ces dépenses en faveur de l'emploi et du marché du travail, certaines dépenses sociales (minima sociaux, dont le Rmi, principalement) sont à la lisière des politiques de l'emploi. Elles représentent 12,2 milliards d'euros en 2007. [résumé de la revue]